Au cours des dernières années, un américain eu la désagréable expérience d’apprendre qu’il était intolérant au gluten. Ce fût la même chose pour sa meilleure amie Melissa Melton et d’autres amis à lui qui furent très malade avant d’arrêter de manger du blé.

Un des protocoles de culture du blé là-bas consiste à répandre du Roundup 7 à 10 jours avant le passage de la moissonneuse batteuse. Le but est de tué les épis de blé morts ou malades avec un ingrédient mortel : le glyphosate.

Le docteur Stephanie Seneff du MIT a étudié le sujet en profondeur et a démontré que les sols des champs sont contaminés par les engrais répandus depuis ces dix dernières années sur le sol américain. De ce fait, cela expose leur blé à des éléments toxiques comme le glyphosate qui s’introduit dans les graines lorsque l’épi meurt.

Selon le département de l’agriculture Américaine, 99% du blé dur, 97% du blé de printemps et 61% du blé d’hiver ont été aspergé avec du Roundup depuis 2012. Cela représente une augmentation de 88% pour le blé, 91% pour le blé de printemps et 47% pour le blé d’hiver depuis 1998 !
N’est-ce pas horrible de mettre ces produits si toxiques sur des champs avant la moisson ? Car ces toxines ne sont bien entendu pas supprimées lorsqu’elles arrivent sous forme de farine, de pain ou de dessert dans votre assiette.
Cela pourrait aussi expliquer pourquoi certaines personnes qui ont de terribles intolérances au gluten peuvent manger du blé bio. Serait-ce parce ce que ce blé ne contient pas de glyphosate ?
Une première étude Américaine montre que le glyphosate augmente les chances d’avoir un cancer du sein en raison de son utilisation très répandu dans l’agriculture génétiquement modifiée. La consommation de glyphosate cause de gros dégâts aux intestins et ouvre la porte au diabète, à l’obésité, l’autisme et les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. En 2007, plus de 185 millions de litres de glyphosate ont été utilisé par les agriculteurs américains (le double depuis 2001)
Une étude datant de 2009 démontre que les Américains utilisent plus de 100 millions de litres de glyphosate chaque année dans leur jardin. Et cela ne fait que s’accroître à cause de l’apparition de supers-plantes plus résistante à ce poison.
Un triste fait, surtout lorsque l’on sait que le glyphosate détruit l’environnement, du sol au plantes et augmente les risques de cancers, de malformations à la naissance (les yeux, la peau, les voies respiratoire, la gorge, le pancréas).
La plupart des symptômes amenant à l’intolérance au gluten pourrait donc être lié à l’exposition au glyphosate. Ces méthodes d’agriculture ont littéralement créé une épidémie à travers les États-Unis. Aux Etats Unis, bon nombre de personnes intolérantes au gluten se portent très bien en mangeant du pain, de la pizza… bio ! Peut-être ne sont-ils pas tous si intolérant au gluten, mais juste tout simplement intolérant au poison…